dimanche 2 novembre 2008

2 novembre- On s'installe

Sommes arrivés à destination samedi dans l'après-midi vers 14h00 et nous avions un peu de fatigue accumulée même si nous sommes descendus du Québec en prenant notre temps, en arrêtant souvent pour des pauses et en couchant à 3 reprises dans différents Walmart sur notre route.

On passe donc le reste de la journée à s'installer quoiqu' un condiste s'installe habituellement très rapidement. J'en profite pour me brancher sur la toile car ici au Lake San Marino, l'accès internet n'est pas gratuit, on doit se brancher avec la compagnie Tengo Internet qui est un fournisseur d'accès internet que l'on retrouve dans plusieurs terrains de camping à travers les États-Unis. Le coût est de 30$ pour un mois, ce qui me permet évidemment d'avoir accès au net, en plus de pouvoir écrire mon blogue, envoyer et récupérer mes messages courriels et d'utiliser Skype (compagnie qui nous permet d'utiliser mon portable comme ligne téléphonique) .

Ce matin, je me réveille à 5h30 (c'était l'heure du réveil lorsque nous voyagions) mais il n'est pas 5h30, le cadran m'indique 4h30 car nous sommes revenus à l'heure normale de l'est. Impossible de me rendormir, je suis à l'extérieur vers 6h00 pour me balader autour du camping; je crois que je ne suis pas le seul à m'être réveillé tôt!

Le gros travail de la journée a été d'installer ma soucoupe Star Choice afin de pouvoir capter quelques émissions du Québec. Chez nous, j'ai réussi l'installation en 10 minutes mais ici malgré que je possédais les données d'azimut, d'élévation et de skew pour l'endroit, nous avons mis une éternité à trouver le point qui nous permettrait de recevoir un signal convenable.


Notre site, le 250, est super bien; grand terrain, voisins immédiats à droite et à gauche très tranquilles, il n'y aura pas de gros parties qui nous empêcheront de dormir. On retrouve cette année plus de Québécois non pas seulement au Lake San Marino mais tout le long de la côte ouest. Ici, c'est plus tranquille, le rythme de vie est plus au ralenti mais on pourra s'en reparler dans une chronique ultérieure.





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